Dès l’entame de cette histoire faite de toutes les subtilités qui remplissent les existences de chacun de nous, c’est le […]
2017 s’en va, à jamais, comme avant hier, hier, et aujourd’hui, qui finira par s’en aller, aussi. Et demain, le […]
Dans ma tête, je peaufine une énième explication, à servir à mon boss. Je vois d’ici son regard hybride fait de résignation, de révolte et de perplexité, avec un brin de désolation. Et pourtant, dans mon dernier mail (en réponse à sa deuxième mise en garde), je m’étais engagée à éviter les retards. Mais, comment faire ? Epouse, mère, et femme active. Trois boulots à plein temps et qu’on porte à plein temps sur les épaules…
Trêve de ruminations, il faut que je me trouve la force de m’arracher de ce lit, que j’aille réveiller mes deux petits anges, que je leur prépare le petit déjeuner, leur fasse leur toilette, leur prépare leurs bagages, et que je les dépose à l’école, après une opération « douche, habits, prière » express.
Partout, à Dakar, des pauvres gens errent, tendent la main, nous regardant dans le blanc des yeux. ...
Il est 13h45 et je me jette pour ne pas dire me lance (vous comprendrez plus tard) dans la circulation...
L`homme est un éternel chasseur, m`a-t-on toujours dit, mais moi, j`ai toujours pense que ça n`arrivait qu`aux autres…Plus pour me rassurer que par naïveté…
Promenade sur notre belle corniche, si belle, verdoyante, vue imprenable sur le bel océan, coucher de soleil renversant, de loin, […]
Le pouvoir… Ce trésor qui scintille, fascinant, et qui attire… Cet or qui brille, émerveillant, du sommet d’une montagne, Et, […]
A l’aube de nos mariages, nos badiane, nos tantes, nos oncles, parmi les nombreux conseils qu’ils nous ont prodigue, un […]
Janvier 2009 MODE TAXALLE* Baye a 26 ans. Il fait partie de ces innombrables jeunes qui ont étés interpellés il […]
Retrospection dans le temps, qui nous arrache un sourire, et nous rend nostalgique...
Président, Ce 23 juin, je suis pourtant passée devant chez vous, mais tout était assez calme....
« Nous étions dans notre chambre, à l’étage, ma cousine et moi, entrain de jouer. C’était un vendredi, avant la grande prière...
Cher Sénégal, Je te voie sombrer, et mon cœur en larmes, implore Dieu de te sauver. Comment en es-tu arrivé la ? Toi, célèbre par ton humanité, ta chaleur humaine, ta paix, ton tèranga, tu portes aujourd’hui, en ton sein, les graines du mal qui commencent inéluctablement à pousser. Ses fleurs, tel un poison, tuent, à petit feu, cette quiétude qui nous était légendaire.
Je couvre ma femme d’un regard rempli d’amour ; son rire, je l’écoute, je l’entends, je m’en délecte comme de ma première tétée. Je la regarde, qui me regarde, qui me taquine, qui caresse son ventre, ce « gros ballon » comme elle l’appelle...
Ah Dakar, Colobane, Centenaire, Sandaga, Pikine, Hlm, toute cette chaleur, ce bouillon, ce mélange d’hommes, de femmes et d’enfants…
Au fond de moi, j’ai toujours prié pour que ta mort ne soit pas vaine...