Résumons la situation : votre épouse est convaincue qu’elle est votre inconditionnelle soumise à tous vos désirs (qu’elle l’assume ou on), qu’elle vous doit respect, affection et humble dévotion, qu’elle doit TOUT, absolument TOUT supporter parce que son salut dans l’au delà (paradis) dépend de votre niveau de satisfaction et que le salut de sa progéniture ici-bas, dépend de sa capacité à TOUT, absolument TOUT supporter. Elle finit même par croire que votre avis passe avant celui de Dieu. Elle se ‘’khessalise’’ pour vous plaire, elle se pare de faux ‘’ faux ongles, faux cheveux, faux teint’’, fait tout ce qui déplait à Dieu, pour vous plaire, en étant convaincue que ‘’lou nekh sama djeukeur, di nekhal sama seuy, dagane na’’.
Partir, vers l’inconnu, ce défi qui nous transforme et nous fait découvrir une autre facette de notre personne. Partir et rencontrer d’autres, qui comme nous, ont quitté leur patri. On se retrouve finalement dans un cercle très cosmopolite, au milieu d’autres d’autres.
Partout, à Dakar, des pauvres gens errent, tendent la main, nous regardant dans le blanc des yeux. ...
Il est 13h45 et je me jette pour ne pas dire me lance (vous comprendrez plus tard) dans la circulation...
L`homme est un éternel chasseur, m`a-t-on toujours dit, mais moi, j`ai toujours pense que ça n`arrivait qu`aux autres…Plus pour me rassurer que par naïveté…
Promenade sur notre belle corniche, si belle, verdoyante, vue imprenable sur le bel océan, coucher de soleil renversant, de loin, […]
Le pouvoir… Ce trésor qui scintille, fascinant, et qui attire… Cet or qui brille, émerveillant, du sommet d’une montagne, Et, […]
A l’aube de nos mariages, nos badiane, nos tantes, nos oncles, parmi les nombreux conseils qu’ils nous ont prodigue, un […]
Janvier 2009 MODE TAXALLE* Baye a 26 ans. Il fait partie de ces innombrables jeunes qui ont étés interpellés il […]
Retrospection dans le temps, qui nous arrache un sourire, et nous rend nostalgique...
Président, Ce 23 juin, je suis pourtant passée devant chez vous, mais tout était assez calme....
« Nous étions dans notre chambre, à l’étage, ma cousine et moi, entrain de jouer. C’était un vendredi, avant la grande prière...
Cher Sénégal, Je te voie sombrer, et mon cœur en larmes, implore Dieu de te sauver. Comment en es-tu arrivé la ? Toi, célèbre par ton humanité, ta chaleur humaine, ta paix, ton tèranga, tu portes aujourd’hui, en ton sein, les graines du mal qui commencent inéluctablement à pousser. Ses fleurs, tel un poison, tuent, à petit feu, cette quiétude qui nous était légendaire.
Je couvre ma femme d’un regard rempli d’amour ; son rire, je l’écoute, je l’entends, je m’en délecte comme de ma première tétée. Je la regarde, qui me regarde, qui me taquine, qui caresse son ventre, ce « gros ballon » comme elle l’appelle...
Ah Dakar, Colobane, Centenaire, Sandaga, Pikine, Hlm, toute cette chaleur, ce bouillon, ce mélange d’hommes, de femmes et d’enfants…
Au fond de moi, j’ai toujours prié pour que ta mort ne soit pas vaine...