Président,
Ce 23 juin, je suis pourtant passée devant chez vous, mais tout était assez calme....
« Nous étions dans notre chambre, à l’étage, ma cousine et moi, entrain de jouer. C’était un vendredi, avant la grande prière...
Cher Sénégal,
Je te voie sombrer, et mon cœur en larmes, implore Dieu de te sauver. Comment en es-tu arrivé la ? Toi, célèbre par ton humanité, ta chaleur humaine, ta paix, ton tèranga, tu portes aujourd’hui, en ton sein, les graines du mal qui commencent inéluctablement à pousser. Ses fleurs, tel un poison, tuent, à petit feu, cette quiétude qui nous était légendaire.